Avant tout, je vous met ce qu'est le sida, définition prise de wikipédia, je vous conseil de lire, c'est toujours bon a savoir.
Le syndrome de l'immunodéficience acquise, plus connu sous son acronyme sida, AIDS en anglais, est le nom donné à un ensemble de symptômes (syndrome) consécutifs à la destruction des lymphocytes T CD4+, cellules majeures du système immunitaire. La grande majorité [1] de la communauté scientifique impute cette destruction au Virus de l'immunodéficience humaine (VIH). L'utilisation du terme maladie est impropre et on doit parler plutôt de syndrome. À l'heure actuelle (février 2007), il n'existe aucun traitement permettant de guérir du sida.
Depuis le début de l’épidémie, trois modes de transmission ont été observés :
La transmission par voie sexuelle
La plupart des infections par le VIH ont été ou sont encore acquises à l’occasion de rapports sexuels non protégés. La transmission sexuelle se fait par contact entre les sécrétions sexuelles (ou du sang contaminé par le virus) et les muqueuses rectale, génitale ou buccale. La probabilité de transmission varie entre 0,00005 et 0,00067[2].
La transmission par voie sanguine
Ce mode de contamination concerne tout particulièrement les usagers de drogues injectables, les hémophiles et les transfusés. Les professionnels de santé (soins infirmiers, laboratoires) sont aussi concernés, bien que plus rarement. Il ne faut pas négliger les risques de contamination par aiguilles souillées et non ou mal désinfectées (tatouages).
La transmission de la mère à l’enfant pendant la grossesse
La transmission mère-enfant du virus peut survenir in utero dans les dernières semaines de la grossesse, et au moment de l’accouchement. L’allaitement présente aussi un risque de contamination du bébé, de l’ordre de 5 %, ce qui explique qu’il soit déconseillé en cas d’infection de la mère. Cependant, une récente étude, menée par PJ. Illif & al. au Zimbabwe, montre que l'allaitement exclusif précoce réduit le risque de transmission postnatale et accroît la survie des enfants. En l’absence de traitement, le taux de transmission, entre la mère et le fœtus, avoisine les 20 %. Actuellement, les traitements disponibles alliés à une césarienne programmée ont réduit ce taux à 1 % [3]. Les résultats sont plus mitigés dans les pays en voie de développement [4] [5].
Dans les pays ayant accès aux traitements antirétroviraux, la prise en charge de l’infection par le VIH est désormais celle d’une maladie au long cours. Les trithérapies antirétrovirales ont considérablement réduit la mortalité et la morbidité de l’infection à VIH. En contrepartie ont émergé d’autres problématiques liées aux complications des traitements eux-mêmes (lipodystrophie, accroissement du risque cardio-vasculaire, troubles glucido-lipidiques, pathologie mitochondriale), ou des problèmes d’échappement puis d’échec immunovirologique, liés à la question de l’observance.
Cette situation privilégiée d’accès aux traitements ne concerne que les pays riches qui peuvent assurer la prise en charge financière de ces thérapeutiques. Dans les pays en développement, plus de 95 % des patients (soit environ 40 millions de personnes) ne bénéficient aujourd’hui d’aucun traitement efficace
ET MAINTENANT, LE SAVIEZ VOUS :SIDA: le rôle protecteur de la circoncision confirmé
LONDRES (AP) - C'est une réelle percée dans la lutte contre le SIDA: les résultats complets de deux études américaines confirment que la circoncision réduit bien, de jusqu'à 60%, le risque pour les intéressés de contracter le HIV.
Reste à savoir comment exploiter cette information, particulièrement en Afrique, le continent le plus durement touché par l'épidémie. Les données ont été publiées vendredi dans la revue scientifique britannique "The Lancet".
D'après une étude de simulation réalisée l'an dernier, la circoncision pourrait prévenir 2 millions d'infections par le virus du VIH/SIDA et 300.000 morts dans les dix prochaines années. En 2006, 2,8 millions de personnes ont été infectées en Afrique sub-saharienne, et 2,1 millions de malades sont morts. On soupçonnait depuis longtemps une vulnérabilité particulière des cellules du prépuce, découpé lors de la circoncision, au virus.
Les données publiées par "The Lancet" proviennent de deux vastes études menées au Kenya et en Ouganda. Les premiers résultats annoncés en décembre 2006 avaient été jugés si probants que les recherches, menées par les Instituts nationaux de santé, avaient été arrêtées. Ils confirment ceux de travaux antérieurs effectués en Afrique du Sud.
"C'est un progrès extraordinaire", s'est félicité le Dr Kevin de Cock, directeur du département SIDA au sein de l'Organisation mondiale de la santé (OMS). "La circoncision est l'intervention la plus convaincante qui ait été décrite à ce jour dans le domaine de la prévention du SIDA."
Il reste que la circoncision de masse poserait problème en Afrique, où le système de santé est déjà débordé. L'ablation doit être réalisée dans de bonnes conditions d'hygiène et requiert beaucoup d'organisation des services médicaux. Plusieurs pays africains comme le Swaziland mettent en place avec les agences onusiennes de nouvelles stratégies permettant d'augmenter le nombre de circoncisions. La circoncision doit s'ajouter aux autres méthodes de prévention déjà employées, comme le préservatif, et non s'y substituer.
L'Onusida et l'OMS se réuniront en Suisse début mars pour examiner les résultats de la circoncision et décider des prochaines mesures à adopter pour ralentir la progression de l'épidémie de SIDA. AP
Mon avis : Cette nouvelle concerne surtout les garçons, mais il est toujours de savoir cela. Attention, même si cette information s'avère vrai, elle est a prendre avec des pincettes . Moi même je reste septique face a cette dernière.
voici le lien si vous voulez lire de plus ample information :
[url]http://fr.wikipedia.org/wiki/Syndrome_d'immunod%C3%A9ficience_acquise[/url]
et maintenant votre avis .