# Vos oeuvres favorites

Dans ce topic, je vous invite à venir citer les oeuvres qui vous ont marqué, que vous avez préférées... en précisant si possible pourquoi, pour donner peut-être à d'autres l'envie de les lire. ^^

A vous !

Ca sent que t'es en L -_-

Pas besoin d'être en L pour apprécier la littérature ;) .

Perso, ce serait:
1984, de George Orwell. C'est vraiment un chef d'oeuvre, sûrement l'aboutissement de la "contre-utopie".

Le Comte de Monte-Cristo, d'Alexandre Dumas. La vengeance, ultra planifiée, Edmond Dantès, le comte de Monte-Cristo, lorsqu'une personne évolue de façon radicale, physiquement, psychologiqement.

Notre-Dame de Paris, de Victor Hugo. L'histoire de Claude Frollo, Quasimodo, "l'à peu près" comme le dit son nom, la naïve Esmeralda et sa recherche de sa mère, Phoebus, pas si héroïque que ça.

Anna Karénine, de Tolstoï. Tout simplement génial, femme déterminée, portrait d'une société, la société russe.

L'Etranger, d'Albert Camus. Sidérant, j'en suis pas revenu indemne. La manifestation de l'absurde.

J'en ai d'autres, mais les titres ne me reviennent pas...

Anyway a écrit:

Pas besoin d'être en L pour apprécier la littérature ;) .

Bien sur, mais on sent le vent de son option souffler sur le forum quand même

je mettrais aussi l'Etranger de Camus, je l'ai lu deux fois et c'est incroyable la lucidité qu'il permet d'avoir.

J'ai adoré aussi Candide de Voltaire, Le meilleur des mondes d'Huxley (stupéfiant également), et là, le "Plaidoyer du bonheur" de Ricard me plait bien, même si je mets du temps à le lire.

dropé a écrit:

Ca sent que t'es en L

Faut bien que ça serve à quelque chose.

Tourments d'ébène. d'Eve Rutland.

Je l'ai lu il y a presque un an maintenant. C'est un livre qui a réussi a mettre en avant plusieurs sentiments en moi, la colère, la peur, le doute mais aussi beaucoup de peine.

Cela parle de la situation des noirs en Amérique en 1930. Tu vois des choses/scènes tellement atroce qu'on était en colère contre cette société.

Aussi, j'avais comme utopie qu'un homme qui aimait une femme ne pouvait pas la tromper. Pourtant ce livre m'a fait comprendre le contraire. Il l'aimait, a travers les lignes cela se sentait, on était heureux pour eux, ils étaient si solitaire, si complice, si aimant. Pourtant dans un moment d'égarement il l'a trompé...Et je ne serai définir la façon dont j'ai réagis a part les larmes. L'impression que en quoi je croyais venait de tomber.

QUand on est bourré on peut tromper, d'un côté c'est pas de notre fautre

Il n'était pas bourré.

Anyway a écrit:

Pas besoin d'être en L pour apprécier la littérature ;) .

Perso, ce serait:
1984, de George Orwell. C'est vraiment un chef d'oeuvre, sûrement l'aboutissement de la "contre-utopie".


L'Etranger, d'Albert Camus. Sidérant, j'en suis pas revenu indemne. La manifestation de l'absurde.

J'en ai d'autres, mais les titres ne me reviennent pas...

1984 clair et net.Quoique je préfère "La ferme des animaux"...

Et L'Etranger de Camus, une amie me l'a conseillé après ma lecture du Parfum et c'est vrai qu'il est très bon

L'étranger d'Albert Camus m'avait beaucoup plut également.

fitz a écrit:

1984 clair et net. Quoique je préfère "La ferme des animaux"...

Pareil, je mettrais ces deux là... Disons que c'est un genre différent, je rangerais 1984 dans la catégorie "anticipation" (enfin... à l'époque -_- ) alors que Animal Farm est vraiment une dénonciation assez claire.

Sinon, dans les oeuvres marquantes "de qualité" on va dire... Il y aura Paroles, de Prévert, et The Color Purple d'Alice Walker. Et très récemment lu, Heart of Darkness, de Conrad.

Plus petite, il y avait eu Mon Ami Frédéric et Ce Jeudi d'Octobre (je ne me rappelle plus des auteurs)

Ensuite, en vrac et aussi en lectures d'ado, il y a eu Virgin Suicides (c'est un livre au départ), Trainspotting (plus pour la façon dont c'est écrit que pour l'histoire), L'écume des jours...

Mon ami Frédéric de Hans Peter Richter

Ce jeudi d'octobre d' Anna-Greta Winverg

Mon ami Frédéric. Je l'ai lu plusieurs fois. Il arrive à chaque fois a me mettre les larmes aux yeux.

VERSION 5.12

" Je ne voulais pas changer le monde. Si je l'ai fait cependant malgré moi, je le regrette. " Tubor Both n'aurait en effet jamais pu imaginer quel avenir surprenant serait le sien. Lorsqu'il quitte sa mère pendant la nuit de l'an 2000, il a quinze ans et envie de faire de grandes choses. Mais il n'a pas idée de ce qui l'attend. Les années passent. Assez insignifiantes.
Il fait la connaissance de son oncle Roman qui n'a que les ordinateurs dans sa vie. Il tombe amoureux de la belle irlandaise Nuala.
Et puis, du jour au lendemain, il quitte sa ville natale pour le joyau de la modernité : Wohnwiesen. " Une ville parfaite pour des êtres parfaits.
Tout y est étudié pour obtenir des conditions de vie optimales. Un rêve qui se transforme vite en cauchemar...
Guidé et entraîné par Chris, la géniale hacker, qui fut espionne dans sa jeunesse, Tubor découvre petit à petit à quoi sont destinées les statistiques qui défilent sur l'écran de son ordinateur. Les hommes ont-ils été assez fous pour laisser échapper leur responsabilité et la confier à une machine ? Une nouvelle forme d'état est née : la compucratie. Tubor va tenter de libérer le monde du joug du cerveau électronique qui l'opprime. Qui gagnera ? L'homme ? La machine ?


L'auteur

Reinhold Ziegler est né en 1955 à Erlanger en Allemagne. Après des études d'ingénieur, il est devenu journaliste spécialisé dans l'informatique. Il est l'auteur de six romans et a reçu plusieurs prix.