In my place. Coldplay.
Une balade de Coldplay dans les oreilles à peine agaçante. C'est fou ce que les anglais d'origine de Londres peuvent donner comme impression, mais ce n'est qu'un groupe. Après tout, Chris Martin me scie les tympans en faisant pleurer toutes ces petites minettes qui iront à leur concert, lors de la grande tournée avec la sortie « Viva La Vida or death and all his friends ». Ils sont beaux, vieux, célèbre, on a toutes envie de s'les taper comme Bill Kaulitz. Quelle bande de chaud lapin, n'est-ce pas mesdemoiselles ? Le sexe appeal à deux balles. Après tout, ce n'est pas eux qui m'intéressent pour que l'automne tombe...
Il y a environ 21 816 heures, Hope grandissait dans son fœtus. Elle serait aussi belle que son père. Aussi charmante que sa mère. Un couple d'adolescent qui assumait depuis cinq mois la naissance d'un bébé. Un enfant, disent certains, non désiré. Après tout, ce n'était qu'un accident ? La nouvelle avait été appris beaucoup trop tard, quatre mois passé, et merde. Bien trop tard pour faire un avortement ou en d'autres termes, tuer artificiellement avec la médecine des années 2000. Trop dur, déchirer en faisant une césarienne ? La loi commettrait ceci comme un véritable meurtre contre le professionnel. C'était une gaffe, et elle chialait toujours aux pieds de sa mère, qui souriait forcément. Soutenue de tous, elle demeurait forte à la fois fière d'être futur mère. A 15 ans, fillette surdouée en classe Terminale, s'aura chérir ce petit être venu du ciel, lui donnera tout l'amour qu'elle offre à son aimant, ainsi que tout ce dont Hope aura besoin ? Peut être, elle se sentira moins seule, moins abandonnée ou aimée en d'autres termes ? Aimer d'un enfant qui l'appellera « Maman » avec ces grands yeux bleus ? Jeune prodige qui fond déjà sa propre famille inconsciemment, alors qu'elle subit le stress des épreuves et les résultats du BAC. Et elle se souvient toujours ce que cette dame à la blouse blanche lui avait dit :
« Félicitation, vous êtes bien enceinte. »
Le reste, elle ne se souvient pas, car tout est effacer. Elle regarda la dame d'un certain âge, lui sourit, et serra la photo contre sa poitrine. Surexcitation comme envie suicidaire se manifestait dans son cœur à peine anéantie. Les regards choqués, les cris de violence, les tentions dangereuses, les pleurs de joie, les sourires de soutien, la nouvelle avait fait ces ravages contre tous. Certains l'ignorèrent, d'autres la soutenaient. Ils assumèrent du début à la fin, en croyant que la vie serait plus belle dans un sens.
« Personnes n'est blessé ? Excusez moi, je suis médecin, veuillez vous pousser. Mesdames écartez vous du jeune homme, s'il vous plait ! », Hurlait cet homme suivit des ambulanciers. Tout ce vacarme attira son attention. En sortant de l'immeuble, il y avait une foulée de gens dans la rue dans ce quartier si tranquille dans Paris, que se passait-il ? Elle poussait tous ces gens affolés et hystérique, afin de voir la victime. C'était bien l'homme aimant qui avait été frappé par cette voiture. Le conducteur était énervé, mais autour d'elle, tout s'écroulait. Le père de son enfant venait de mourir sous ces yeux. Il n'était plus en vie, merde. Et elle était désormais toute seule accompagnée de ces fidèles amis et ces parents. Tant pis.
« Ne pas faire de vieux os. » marmonnait Jacques.
Il y a cette lumière éblouissante. Vous savez cette lueur qui a été découverte par Auguste Marie Louis Nicholas et Louis Jean Lumière ? En fait, ça te crève tellement la rétine, lorsque tu regardes à cette connerie, mais comment s'appelle-t-elle ? Ah oui, ce que nous appelons une lampe Néon ou un tube néon, qui est plus courante, découverte par un parisien nommé Georges Claude. Je la fixe, mais je ne réalise toujours pas où suis-je ? Bientôt, je deviendrais une aveugle qui refuse avoir un bâton en main pour lire du braille. Ce n'est pas ça, ma motivation de me réveiller dans ce choc.
Hope est morte, car il y a eu lieu d'une fausse couche. Ca aussi, c'était un accident et non-désiré comme beaucoup d'autres petites choses. Elle somnole dans un coma éthylique, depuis déjà 3 semaines. Rien n'a changé, elle a toujours cette blouse blanche, connectée à de nombreux fils de diverses fonctions, toujours dans cette chambre bleue où dors une odeur amer. Les infirmières la regardent d'un air attrister, mais personnes ne peut faire des miracles. La patiente dort toujours et ne se réveille pas. En mourra-t-elle ? On lui a bien arraché ce qu'elle portait dans son ventre. Et le reste, ce n'est qu'un détail.
Il est deux heures du matin passé, ses bras sont en sang et merde que ça fait mal. Une scène parfaite pour le prochain film d'horreur à succès, tout est dégoutant. Ce liquide rougeâtre coule de partout, passant du bord de son lit à sa table de chevet où se retrouver l'arme de l'acte. Ca n'arrête pas de couler, et elle se vide de son propre sang. Certains ont le fétichisme de faire un bain de sang, elle doit en avoir autant pour une pauvre machine sans intérêt. Un gros tas de boulons réunis avec des fils bleus, jaunes, verts, blanc, noir pour filtrer l'électricité dans cet amas de pixels qui sert pour communiquer avec. Sa vision se diminue, le contrôle de ses membres dérape. Tout doucement, elle se laisse s'écrouler sur le sol glacé.
Deux ans plus tard, je suis fébrile.