Que j'ai écrit hier soir, une envie d'imaginer, assez sombre:
L’espoir a croulé et les larmes ont coulé,
L’arme m’acculait quand mon âme accourait,
Près des lames et voulait une protection : affolée,
Elle saignait enrôlée dans la mort et s’enroulait,
Dans un linceul de sa peine qui la laissa seule dans sa haine,
Contre elle même et l’amène à ce qu’elle aime la seine,
Au point de s’imaginer la scène à y noyer toutes ses malsaines,
Veines reines des vaines impuretés qui l’a démène,
Mon âme est morte et mon cœur est glacée,
Les blâmes m’arborent et la colombe est chassée,
Associale à jamais même pour ceux que j’aimais,
J’ai géré ce décès d’âme mais personne n’a digéré,
J’ai trop peu exprimer mes sentiments envers tous,
Toujours la haine primait, j’avoue même là mes vers toussent,
Malade de misanthropie, même si j’ai tout fait pour qu’ils roussissent,
Deviennent chaleureux, que j’ admire la grande ourse,
Et toutes les étoiles de tes yeux, mais toi tu m’en veux,
Alors j’espère qu’en mes cieux, ce toit de tous mes vœux,
Tu m’ai pardonné tout, mes messages et mes désistements,
Je sais être sans atout, aux excuse mais sache que le triste est mort,
Petite fille est sous terre, la satyre cinglante s’y terre,
La martyre cynglée s’y meurt, quand Camille s’en tire si seule,
Sans rêves dans son linceul, sans trèves face à la solitude,
Avec comme seule étude une vie simple qui lui paraissait dure...