Mes petites créations

Les causes des succès des conquêtes romaines du 2ème siècles avant J-C au 3ème siècle après J-C.

Les succès des campagnes romaines sont sans nul doute dû aux Légions romaines qui grâce à un entraînement intensif pouvaient se déplacer plus rapidement que l’ennemi. Les Légions ont largement évolué au fil des siècles. J’aborderais dont dans un premier paragraphe les évolutions qu’a connu la Légion, dans un deuxième paragraphe, les tactiques qui firent gagner les romains et enfin j’aborderais la raison pour laquelle les romains ne devait pas faire face à de constantes guerre civil.

La Légion a tout d’abord était une armée de conscrit, comme en Grèce, tout citoyen Romain devait faire un service militaire de 3 à 6 ans suivant les époques. Pendant cette période, les légionnaires devaient acheter leur propre équipement, les plus riches avaient des postes de commandement ou servaient dans la cavalerie. Alors que les plus pauvres n’ayant que des armes de jet allaient en avant-garde de la légion avec quasiment aucunes protections afin d’affaiblir l’ennemi puis ils se retiraient pour laisser les fantassins plus alaise lors des combats au corps à corps et ayant un équipement plus coûteux et protecteur. Sous le règne de Servius Tullius (qui régna entre -578 et -535) une légion comprenait 4000 hommes divisés en centuries de 80 hommes. Lors de la 3ème guerres puniques, les légions sont réorganisées. Les légions comptent à présent 4200 hommes comportant chacunes 30 manipules de 140 hommes qui sont réparties ensuite en 2 centuries de 70 hommes chacunes.

A la fin du 2ème siècle avant J-C, Caius Marius, qui est alors consul de Rome, réforme considérablement l’armée. Marius rend l’armée professionnelle, chaque combattant s’engage pour 12 à 25 ans. Tout le matériel est maintenant fourni par Rome. Les Légions sont à présent composé de 5000 hommes répartis sur 10 cohortes de 600 hommes. Les cohortes sont divisées en 3 manipules de 200 hommes chacunes. La légion est aussi accompagné généralement de 1200 vélites, fantassins léger équipé d’armes de jet, ainsi que d’environ 300 cavaliers. Pendant cette période les effectifs se situé entre 165 000 et 198 000 hommes soit environ 33 légions.

Les légions romaines sous la république sont généralement utilisés à des fins défensives et ne sont pas assez bien entraîné pour mener de longue campagne. La réforme de Marius règle le problème puisque dès lors tous les légionnaires sont entraîné et reste un minimum de 12 ans dans la légion, ce qui leur permet d’avoir une grande expérience et une capacité physique exemplaire. Les réformes de Marius permettent également de standardiser l’équipement des légionnaires, ainsi des formations tel que celle de la tortue où les légionnaires « emboîtent » leurs boucliers afin de ne laisser aucun angle possible aux projectiles adverse pour les atteindre, deviennent possible.

Les légions peuvent alors jouer des rôles plus offensifs, elles adoptent des formations très spécifiques et organisées de manière précise. Une première ligne de quatre cohortes (600 hommes), une seconde de trois, une troisième de quatre se place en quinconce sur le champ de bataille. Les cohortes se formaient sur 8 rangs de profondeur et 50 de longueur. Il y avait 90 cm entre chaque légionnaire d'un même rang, et 120 cm entre chaque rang. Chaque ligne de cohortes était séparée de 35 mètres. Les cavaliers étaient généralement déployés sur les ailes. Les romains utilisaient également de plus en plus d’artillerie, des catapultes, des balistes… dont les technologies ont souvent été empruntées aux grecs puis améliorés.

La légion adopte aussi une forme de camp unique pour simplifier sa mise en place et qu’un messager sache toujours où aller pour transmettre son message. Ce camp est construit chaque nuit, il possède quatre entrées et deux routes principales. Les quartiers des généraux, l’autel, les enseignes et les tribunes sont situés sur la « Via principalis » en face d’une des entrées et en face du carrefour entre les deux voies principales. Autour du camp est creusé un fossé de 2.25m de profondeur sur 4.5 de large, suivi de la levée de terre qui représenté un tas de terre de 5.5m de large sur 1.25 de haut. La palissade était constituée de piqués en bois transporté à raison de 2 par légionnaire. Ces piqués étaient haut de 1m70 et devaient être enfoncé dans 30cm de la levée de terre préalablement recouverte d’herbe pour la rendre glissante. Un camp de 580m sur 290 pouvait être construit en 2 heures.

Les fortifications furent aussi une manière de remporter des batailles, comme celle d’Alésia où les romains firent une muraille de bois le long de la cité gauloise afin d’empêcher tout ravitaillement. Ainsi avec plus de 95.000 hommes Vercingétorix et son armée de réserve de 250.000 hommes stationnés de l’autre côté des remparts n’arrive pas à vaincre les 72.000 légionnaires commandés par Jules César. Près de 150.000 gaulois sont tués contre 8.000 chez les romains

Les romains avaient donc en leur possession de réels atouts puisqu’il était quasiment impossible de les attaquer par surprise la nuit et leurs troupes étaient parfaitement entraînés et équipés. La qualité de cette réforme fut rapidement démontrée, notamment lors de la troisième bataille de Chéronée en 86 av. J.-C. contre Mithridate qui avait près de 100.000 hommes pourtant la bataille fut remporté par Sulla qui n’en n’avait que 15.000. Ainsi que dans la campagne d’Espagne et du Proche-Orient par Pompée Le Grand ainsi que bien évidement pendant la guerre des Gaules. Cependant le domaine de prédilection des troupes romaines est la terre, sur mer les combats sont plus mitigés même si l’armée romaine remporte la plupart de ces batailles elle y perd beaucoup d’hommes. Les romains y firent face grâce à un système d’abordage inventé par Caius Duillius en -260. Qui permettait de mettre a profit les qualités d’attaques terrestres des légionnaires.

Les Romains sont non seulement de fin stratège et de bons soldats, mais aussi de bons politiciens. Au lieu de soumettre les peuples vaincus, ils les laissent vivre comme bon leur semble. Bien sûr les soldats ayant combattu l’empire sont vendu comme esclave mais à cette époque c’était bien le moindre mal. Les peuples pouvaient donc conserver leurs religions et leurs cultures. Il est même arrivé que les romains vénèrent des dieux de pays étrangers Ainsi ils n’avaient pas de raison de se révolter contre l’envahisseur qui leur fournissait des infrastructures qu’ils ne connaissaient pas et qui permettaient d’améliorer le confort de ces peuples. Un grand nombre de ces infrastructures furent utilisé pendant des siècles après leurs constructions et aujourd’hui certaines routes suivent les tracés romains. De plus les pays envahient n’avaient plus à subir les attaques des barbares puisque les romains surveillaient les frontières. Au final, les Romains apportaient tant de choses aux pays qu’ils soumettaient qu’ils ne leurs venaient plus l’idée de se rebeller et même si telle était le cas, l’armée romaine n’était jamais bien loin.

Nous pouvons donc conclure que ce sont principalement l’entraînement, la technologie et le génie stratégique qui firent gagner les romains pendant cette période. La plupart des ennemis de Rome n’étaient pas aussi organisé que les Légions romaines, la technologies et les tactiques mises aux points par les romains au fil des combats ont sans nul doute joué un rôle dominant dans bon nombre de leurs victoires. Mais les plus grandes victoires romaines sont dû à des tacticiens de génie tel Pompée Le Grand ou Jules César et bien d’autres. La professionnalisation de l’armée romaine a aussi joué un grand rôle puisqu’on se rappellera les défaites cuisante des romains conscrits face aux carthaginois mené par Hannibal. Dans les armées modernes les besoins sont toujours les mêmes, un entraînement rigoureux des troupes, une technologie de pointe et un commandant de génie. Malgré les millénaires la guerre n’a donc pas du tout évolué et des jeunes gens continus de mourir inutilement.

Petit histoire ( avec un petit h) dans la grande Histoire.

Dans le paquetage des légionnaires romains, il y avait un petit morceau de propolis.

La propolis se trouve dans les ruches. Les abeilles vont
ramasser une résine sur certains bourgeons et en font de la
propolis.Comme son nom l'indique, la propolis ( pro= devant et polis la
ville) les abeilles se servaient de la propolis, en partriculier,
pour réduire l'entrée de leur habitat naturel ( creux d'arbres ou trous
dans des murs) pour défendre plus facilement la ruchée.

Mais ce que les Romains avaient déja remarqué, c'est que
cette propolis avaient des propriétés stupéfiantes dans deux domaines:
C'est un antibiotique puissant ( microbicide et fongicide) et c'est
également un analgésique performant ( En Russie, pour des petites
opérations, la propolis est utilisée pour des anesthésies locale.

Lorsqu'un soldat Romain était bléssé, il mettait dans la
plaie un morceau de propolis qui atténuait la douleur et évitait à la
plaie de s'infecter.

C'est grace à la propolis que l'on ne peut trouver un air
plus pur que celui d'une ruche, alors que l'accumulation de 50 à
100.000 individus, qui se promènenet partout dans un rayon de 3 km
autour de la ruche, en atmosphère humide et a une température de
30 à 35 degrés devrait faire de la ruche un bouillon de culture.

Ha c'est donc ça que mets Juba dans la blessure de Maximus dans Gladiator... je mettais toujours demandé ce que c'était.

Je continue sur ce topic...

J'me faisais encore chier donc je me suis dit pourquoi pas faire deux trois vers... C'est pas térrible mais j'aime en écrire de temps en temps :

Au soleil couchant
Se reflète dans tes yeux
La couleur des cieux
Restant là un moment

Écoutant le chant des oiseaux
Qui au loin reviennent
Bercé par l'eau
Las de toute peine

Les arbres chantant
Sous la force du vent
Rien n'a d'égal
A cet instant de délice frugal

Le soleil se voile
Le jour cède ses couleurs
A une nuit de douceurs
Illuminée par la seule lumière des étoiles




ET




De la nuit il ne reste que sa fine rosée
Sur la végétation à peine éveillée
Le silence de la nuit laisse place
Aux chants des oiseaux de l'impasse

Tout n'est que douceur
Rien ne laisse d'aigreur
Là nous nous éveillons
Après un moment qui ne fut pas assez long

Ouvrant les yeux sur un jour nouveau
Nos regards se perdent dans l'infini mer
Que forme le ciel qui nous submerge de lumière
Tel le rougeoiement du fer chaud

Hop je continues avec deux poèmes et un texte...

Bien que plus grand qu'elle,
Il se sent plus petit à chaque instant
Qu'il passe au près d'elle
Désarmé devant une si grande beauté
Alors que le soleil offre sa luminosité
A son visage étincelant

Ses pensés sont obnubilés par elle,
Et pourtant devant une telle pureté
Aucuns sons ne sorts de ses lèvres lacéré
Par le froid d'un hiver exceptionnel


ET


Tel une vague déferlant sur les rochers
Tu heurtas mon coeur près à éclater
En emportant tout mon amour
Je pars avec toi loin des tours
De la solitude, et du regret
Emporte moi loin des règles
Allons là où la liberté
Est reine, là où l'aigle
Est roi, là où dans les cieux
Nous pouvons rencontrer les Dieux


Pour finir :

Depuis ce soir là, je t'ai perdu. Je sais que tu ne me regarde plus de la même façon. Il y a encore peu je prenez plaisir à te voir sourire, remettre tes cheveux, ou plonger dans tes pensées. Maintenant le vide semble m'entourer à chacun des regards que tu me jettes. Je suis pris d'effrois lorsque je me rends compte qu'encore une fois je deviens un fardeau dont tu dois t'acquitter. Je n'arrive plus à te parler, ma voix s'est éteinte et pourtant mon coeur voudrait crier son amour. Un amour qui a pour seul avenir l'impasse dans laquelle je vie. Tu n'as pas cru que moi, un petit à tes yeux pouvait t'aimer plus que tout. Tu ne m'as pas cru. C'est sans doute le coup le plus dur que tu m'ai porté sans t'en rendre compte.
A présent une partie de moi veux se lamenter encore et encore, pleurer toutes les larmes de mon corps pour ne pas avoir sut s'emparer de ton coeur. Pourtant une autre partie de moi, me dit d'aller de l'avant, même si rien de bon ne mis attend, se faire violence et vivre avec cette blessure que je préfère ignorer. Malgré tout je t'aime, même si parfois je préférerais ne jamais t'avoir connu. Je t'ai perdu.

Ca sers pas à grand chose mais bon, voilà mes dernière créations :









J'ai chaud, j'ai froid. Je ne sais plus où ma vie doit m'emmener. Je n'arrive plus à savoir dans quoi je dois m'engager. J'hésite, je doute. Je ne sais plus. Ma vie semble interminable. Chaque jour ressemblant au précédent. Chaque semaine étant identique. Pourquoi ma vie ne prend-t-elle pas fin ? A partir de cet instant, plus de tracas, plus de soucis, plus de douleur, plus de culpabilité et plus de sentiment. Un long et profond sommeil qui ne fini jamais. Un repos absolu commence enfin. N'y ai-je donc pas droit ? Bien des gens sont morts avant moi, et bien des hommes mourront après moi, je n'ai pas la moindre utilité sur cette terre, pourquoi la mort ne prend-elle pas dans ses bras pour m'emmener ? Serais-je un jour heureux dans ce lieu où tout se trouble ? Saurais-je un jour ce qu'est l'amour ? La nature reprendra-t-elle enfin ses droits sur ce que nous lui extorquons ? Je suis las de tout ceci, las d'une vie sans but et sans gloire. Tout comme je suis las que mon esprit me joue des tours.

This is the end
My only friend, the end...