Les psychologues

J'ai déjà été en voir mais sa ne sert strictement à rien j'essaye de lui faire voir des points positifs de moi et après c tout je l'ai plus je m'en débarrasse !!! Je deteste sa c un moment ou je m'ennui tériblement ! J'ai déjà été 2-3 fois.

un psy c'est pas fait pour lui montrer que t'as des points positif, c'est fait pour arranger les points négatif, donc si tu parles que des point positifs c'est évident que ça t'ai servi à rien bourricot.


non mais vraiment...

ça fait mal un psy?

Oui, il te tape sur les doigts.

Tw33ty a écrit:

Oui, il te tape sur les doigts.

Ca te ferait pas de mal

Bientôt, bientôt...

Le psycologue couillon. ::

La fille de l'air a écrit:

Moi aussi j'avais dans les 7-8 ans quand j'en ai vu... ça n'a servi à rien.

En faisant des études de psychologie, j'ai appris beaucoup de choses concernant l'efficacité d'une thérapie. Contrairement aux idées reçues elles dépendent du patient et non du psychothérapeute ou du psychanalyste.

Il y a des manières de s'y prendre pour choisir un analyste car notre capacité à prendre du recul, faire confiance à la personne que l'on a en face de soi et se rétablir plus rapidement va dépendre de la personne à qui on a choisi de parler.

Règle n°1 : ne jamais choisir un anayste au hasard, par exemple dans les pages jaunes.

Règle n° 2 : le choix de l'analyste étant un problème essentiel, il faut soit se faire conseiller par des gens compétents Dès lors, il te suffit de consulter leurs annuaires (souvent disponibles sur leur site web) pour te choisir un analyste. Les principales sociétés dignes de confiance que je te conseille sont :

Chez les freudiens (membres ou proches de l'IPA) :
- SPP
- APF
- Quatrième groupe

Chez les lacaniens :
- ALI,
- Espace analytique,
- SPF
- Forums du champ lacanien
- ECF

Règle n° 3 : en fonction de tes critères personnels (un homme ou une femme, critères géographiques, etc.) tu choisis 3 analystes différents et tu vas les voir un par un. Choisis celui avec lequel tu te sens suffisamment bien pour être capable de t'engager dans une cure analytique avec lui, celui en lequel tu as spontanément le plus confiance. Quelqu'un de très réputé ou de très compétent peut ne pas te convenir du tout. C'est d'abord une question de rencontre humaine. Conseil : n'accorde aucune importance à la célébrité ou aux publications éventuelles de l'analyste en question. Ce qui compte, c'est avant tout que tu te sentes bien et capable de t'engager avec cette personne. Le reste, c'est du pipeau. Pour les questions de cadre (nombre de séances, aménagements tarifaires, etc.), il faudra en discuter au cas par cas avec chacun des 3 que tu verras. Il est possible de commencer à 1 séance par semaine et de rester ainsi plusieurs années jusqu'au jour où tu peux financièrement payer tes 3 séances hebdomadaires. Ça dépend de l'urgence et de la nécessité de ta demande. A discuter avec lui : n'hésite pas à faire part de tes questions et de tes doutes sur tout ça dès le premier entretien.

Règle n°4 : renoncer dans un premier temps à toute idée d' "analyse didactique" tant que la problématique personnelle n'a pas été suffisamment élaborée.

Règle n°5 : accepter d'emblée l'idée que ça peut durer plusieurs années sans savoir combien.


Pour finir, tu avais 7-8 ans et même si tu n'en garde pas franchement un très bon souvenir, je te conseillerai vivement de réessayer si ça va pas. Il existe de mauvais psy, ça il faut me croire, essaye de ton côté d'enterrer l'image du psy muet comme une carpe, et essayes-en plusieurs. Ca peut être dans n'importe quels cas de figure : dépression; insomnies; mal de vivre; pathologies (plutôt en clinique à ce moment là). L'image qu'on se fait d'un psychologue quand on est enfant est toujours différente de celle d'un adolescent et encore moins d'un adulte.

Je suis persuadée que tu feras une merveilleuse psy Fadia. ^-^

Fadia on veut faire le même métier à ce que je vois. =)

Merci Marine j'ai beaucoup de choses à apprendre (quantité monstre de notions, de facteurs pathogènes, de cas...) mais, comme toi je pense que l'on ne se dirige jamais vers ce cursus au hasard, psy c'est une vocation.

Sarah, je suis enchantée d'apprendre la nouvelle. Je ne veux pas faire de Hors sujet ici alors on en parlera sur msn si tu veux bien, j'ai ton adresse de toute façon.

crock_mittaine95carats a écrit:

Merci Marine j'ai beaucoup de choses à apprendre (quantité monstre de notions, de facteurs pathogènes, de cas...) mais, comme toi je pense que l'on ne se dirige jamais vers ce cursus au hasard, psy c'est une vocation.

C'est sûr... et d'après les fois où tu m'as remonté le moral, donné quelques conseils et ne serais-ce qu'écouter, je pense que tu es faites pour ça. ^^'

Merci, tu vois c'est ça le côté sympa du métier : de savoir qu'on a le pouvoir d'appaiser les gens et non pas de les mettre en difficulté. J'espère t'avoir au moins un petit peu accompagné dans tes pépins car ce n'est pas façile à distance de rattraper le moral de quelqu'un à soi tout seul. Je suis alors vraiment flattée de t'avoir remontée quelques fois.
J't'aime tu sais ^^

Bien sûr que tu m'as aidé, de la façon dont tu as pu. ^^' (qui n'est pas simple, comme tu le dis, à distance...)

J'en suis toute rassurée alors.

La fille de l'air a écrit:

Y-en-a-t-il ici qui en ont déjà consulté?

Si oui, ça vous a aidé ou pas?

Si vous voulez bien en parler....

Je n'en ai jamais consulter. Peut être un jour le ferais je juste comme ça mais pour le moment ca ne me dit rien.

crock_mittaine a écrit:

La fille de l'air a écrit:

Moi aussi j'avais dans les 7-8 ans quand j'en ai vu... ça n'a servi à rien.

En faisant des études de psychologie, j'ai appris beaucoup de choses concernant l'efficacité d'une thérapie. Contrairement aux idées reçues elles dépendent du patient et non du psychothérapeute ou du psychanalyste.

Il y a des manières de s'y prendre pour choisir un analyste car notre capacité à prendre du recul, faire confiance à la personne que l'on a en face de soi et se rétablir plus rapidement va dépendre de la personne à qui on a choisi de parler.

Règle n°1 : ne jamais choisir un anayste au hasard, par exemple dans les pages jaunes.

Règle n° 2 : le choix de l'analyste étant un problème essentiel, il faut soit se faire conseiller par des gens compétents Dès lors, il te suffit de consulter leurs annuaires (souvent disponibles sur leur site web) pour te choisir un analyste. Les principales sociétés dignes de confiance que je te conseille sont :

Chez les freudiens (membres ou proches de l'IPA) :
- SPP
- APF
- Quatrième groupe

Chez les lacaniens :
- ALI,
- Espace analytique,
- SPF
- Forums du champ lacanien
- ECF

Règle n° 3 : en fonction de tes critères personnels (un homme ou une femme, critères géographiques, etc.) tu choisis 3 analystes différents et tu vas les voir un par un. Choisis celui avec lequel tu te sens suffisamment bien pour être capable de t'engager dans une cure analytique avec lui, celui en lequel tu as spontanément le plus confiance. Quelqu'un de très réputé ou de très compétent peut ne pas te convenir du tout. C'est d'abord une question de rencontre humaine. Conseil : n'accorde aucune importance à la célébrité ou aux publications éventuelles de l'analyste en question. Ce qui compte, c'est avant tout que tu te sentes bien et capable de t'engager avec cette personne. Le reste, c'est du pipeau. Pour les questions de cadre (nombre de séances, aménagements tarifaires, etc.), il faudra en discuter au cas par cas avec chacun des 3 que tu verras. Il est possible de commencer à 1 séance par semaine et de rester ainsi plusieurs années jusqu'au jour où tu peux financièrement payer tes 3 séances hebdomadaires. Ça dépend de l'urgence et de la nécessité de ta demande. A discuter avec lui : n'hésite pas à faire part de tes questions et de tes doutes sur tout ça dès le premier entretien.

Règle n°4 : renoncer dans un premier temps à toute idée d' "analyse didactique" tant que la problématique personnelle n'a pas été suffisamment élaborée.

Règle n°5 : accepter d'emblée l'idée que ça peut durer plusieurs années sans savoir combien.


Pour finir, tu avais 7-8 ans et même si tu n'en garde pas franchement un très bon souvenir, je te conseillerai vivement de réessayer si ça va pas. Il existe de mauvais psy, ça il faut me croire, essaye de ton côté d'enterrer l'image du psy muet comme une carpe, et essayes-en plusieurs. Ca peut être dans n'importe quels cas de figure : dépression; insomnies; mal de vivre; pathologies (plutôt en clinique à ce moment là). L'image qu'on se fait d'un psychologue quand on est enfant est toujours différente de celle d'un adolescent et encore moins d'un adulte.

enfin quelqu'un qui dit des choses intelligentes

J'ai consulte deux psy : le premier etait un homme, je n'arrivai pas a me confier. Puis lorsque le poids de mon homosexualite devenait trop lourd a porter, j'ai moi-meme demande a la famille d'aller en consulter un : cette fois, j'ai choisi une femme et cela m'a ete utile.